Notre association : Cultive ta rue

 

L’association a pour but de promouvoir la biodiversité, notamment de la tomate, auprès d’un large public, quel qu’il soit (milieu scolaire, réinsertion, jardins ouverts, expositions).

Jardiniers occasionnels ou avertis, notre collection est riche de plus de 3000 variétés anciennes et modernes !

Quand on sait qu’il existe plus de 36 000 variétés, nous recherchons sans cesse des variétés oubliées dans le monde et en développons malgré tout de nouvelles en parallèle.

Notre volonté, c’est de partager la biodiversité tant malmenée aujourd’hui au public. Donner l’envie aux personnes de la cultiver chez elles et surtout de la reproduire car beaucoup sous-estiment son importance !  Pour cela vous pouvez obtenir des semences auprès de notre association via la boutique et vous nous soutiendrez dans nos démarches et nos manifestations (plus de détail rubrique Quand nous retrouver ?!

Nous sommes un petit groupe de passionnés et nous mettons notre temps et notre passion à l’avant !

En achetant nos graines vous obtiendrez des variétés rares, inédites avec taux de germination important et vous nous soutiendrez dans nos recherches et notre démarche.

L'équipe

Cultive ta rue en résumé


L’équipe :
ANTIGNY Pascal : Président
BOUAKLINE Aicha : Vice-présidente
HUYGHE Bruno : Secrétaire
ROMMENS Philippe : Trésorier
OGET Benjamin : Trésorier adjoint, Gestionnaire du site
Cultivons et partageons la biodiversité

Nos actions

Grâce à votre contribution, nous pouvons mener différentes actions afin d’aider certaines communautés ou associations à profiter de la biodiversité que nous offre les fruits et légumes comme la tomate, une source de nourriture si inégalement répartie dans le monde !

Ainsi, en achetant nos semences, vous participez à ces actions tout en profitant de variétés inédites et rares !

La Ferme Nos Pilifs est une ETA, entreprise de travail adapté et une asbl, association sans but lucratif, elle a pour mission de procurer des emplois utiles, rémunérateurs et valorisants pour 145 travailleurs en situation de handicap et pour la quarantaine de salariés qui encadrent ces travailleurs hors du commun.

Cette mission est portée par des valeurs fortes que nous déclinons dans tous les secteurs d’activités de la Ferme.

LEURS VALEURS

NOTRE VALEUR PREMIÈRE EST CELLE DE L’INCLUSION. SOUS TOUTES SES FORMES ET DANS TOUTES SES DIMENSIONS.

Notre entreprise permet à près de 145 personnes en situation de handicap de vivre de leur travail et d’être pleinement intégrées dans la vie d’une entreprise. Nous avons à cœur de leur procurer des emplois valorisants et qui correspondent à leurs cycles de vie et à leurs évolutions professionnelles et personnelles.

Grâce à nos multiples activités et commerces nos travailleurs peuvent développer des relations sociales tout aussi enrichissantes pour eux que pour ceux qui entrent en contact avec leurs singularités. Pour nos travailleurs avoir un travail, nouer des liens sociaux, participer activement, mais à leur rythme, à la vie et au développement de l’entreprise est un facteur d’émancipation et d’autonomie.

 

La communauté des Petites sœur de la charité est situé dans le sud-est de Madagascar.

Le pôle essentiel est le dispensaire dirigé par sœur fanillo. Il accueille chaque jour des patients qui viennent des 4 coins de la région, venant au dispensaire car leur pauvreté ne leur permet pas les soins dans les divers hôpitaux.

Le mercredi c’est la journée des consultations des enfants dénutris et malnutris. Le dispensaire leur octroie gratuitement du lait et du kouba.

Attachées au dispensaire il y a plusieurs cases qui servent pour les patients qui ont besoin de soins mais qui habitent loin. Deux sont quasi neuves une autre en bon état mais la dernière construction est trop en mauvais état.

La participation de Cultive ta rue au projet de construction permet de financer intégralement 2 cases à 2 lits afin d’accueillir de nouveaux patients.

Le dispensaire a une parcelle à l’extérieur du village où sont hébergés les tuberculeux avec leur famille. Les soins médicamenteux sont pris en charge par l’état et la nourriture par les sœurs mais ils ont fait des plantations grâce au forage et au château d’eau construit par l’association « Manger pour apprendre » l’an dernier.

Concernant l’association sur place :

“Devant le manque d’eau pour se laver les mains entre chaque soin ou de laver les plaies ou que les familles des patients puissent boire cuisiner lessiver avec les points d’eau en place, on a pris la décision de les aider afin que l’eau ne soit plus une nuisance en construisant là aussi un château d’eau et un forage. Cela se fait en nous associant avec l’autre association qui va pouvoir gérer sur place en avril la construction

La communauté a d’autres utilité également : chaque sœur a sa tâche que ce soit pour agriculture ou l’aide à la pauvreté scolarisant des dizaines d’enfants. Une sœur s’occupe aussi d’apprendre la couture aux femmes ce qui leur permet d’avoir un petit revenu en plus de faire les habits les matelas (…) pour les pauvres une autre sœur fait avec des femmes de la vannerie.” Eric Placidi.

 

Un grand merci à Eric Placidi, médecin et sans qui l’association n’aurait pu aider la communauté où il est bénévole !

Noubaghiya est un village qui se situe dans la région de Trarza en Mauritanie. C’est à 120km à l’est de la capitale Nouakchott. Le village est peuplé par environ 3000 habitants avec en plus des étudiants qui viennent au village.

Le climat est désertique, sec et chaud, l’eau y est abondante grâce aux 2 forages et aux châteaux d’eau du village.
En hiver, la température oscille entre 15 et 30 degrés la nuit et le jour. C’est la période idéale pour démarrer les semis et planter. L’été la température est plutôt entre 30 et 50 degrés la nuit et le jour.

Le projet auquel Cultive ta rue participe est de les aider dans leur autosuffisance et indépendance alimentaire, notamment :

  • montrer l’intérêt économique du maraîchage dans un 1er temps, c’est à dire leur vendre des légumes moins chers et de meilleure qualité que ceux importés du Maroc qui sont super cher déjà à la capitale mais en plus avec le prix du transport jusqu’au village, et surtout de qualité médiocre.
  • Dans un deuxième temps, leur ouvrir le champs des possibles pour leurs troupeaux qu’ils nourrissent de céréales mais qui meurent lors des périodes de sécheresse comme en 2018.Le projet va se développer sur un terrain d’un peu moins de 5000 m² pour l’instant, avec des arbres et des légumes principalement.